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POURQUOI CONSULTER UN PSYCHOLOGUE DU SPORT ?

Une écoute individuelle, confidentielle & bienveillante

C’est une question qui m’est fréquemment posée.
Actuellement en France, le travail mental spécifique n’est pas encore systématiquement associé au monde du sport. Pour autant, outre les états spécifiques et qualités mentales que le sport requiert, la performance est nécessairement liée au bien-être général du sportif souvent soumis à de nombreuses pressions.

Bien que le sport soit synonyme de bonne santé et d’une hygiène de vie saine, la pratique intensive implique inévitablement des souffrances physiques et psychiques. Le sportif en arrive parfois à se définir presque uniquement à travers sa performance, ses résultats et ses exploits. Le sportif professionnel est soumis aux exigences d’une culture de la gagne, ce qui le contraint à entrer dans une quête perpétuelle de performance l’obligeant constamment à se dépasser. Ce milieu n’en reste pas moins exempt de difficultés. La pression, la distance, le rapport au corps et les blessures, les relations sociales bien spécifiques, les exigences de mode de vie, l’adaptation... sont autant de belles aventures que de difficultés à gérer au quotidien.

Tous ces éléments tendent à indiquer qu'il serait plutôt juste et nécessaire de pouvoir offrir un espace individuel et confidentiel au sein duquel chacun pourrait se sentir libre, écouté et entendu. Nous avons encore dans notre société actuelle de nombreux « a priori » et réticences à faire appel à un psychologue, particulièrement dans le milieu sportif. Or, dans de nombreux pays, le psychologue (et le préparateur mental) entourent fréquemment le sportif et ce depuis plusieurs années.


Aussi, ma vision du rôle d'un psychologue du sport ne repose pas uniquement sur l'aide à la performance mais essentiellement sur un travail plus global sur sa personne, son histoire et son parcours, englobant au besoin l’amélioration des performances.

Je voudrais également introduire la notion "d’après-carrière" d’un sportif, valable par ailleurs pour tout niveau de pratique. L’après-carrière est une période pouvant s’avérer très compliquée, qu'elle soit choisie ou non. Les médias participent peu à peu à sensibiliser le public aux problématiques de fin de carrière. Les études et témoignages nous montrent qu'il n'est pas rare chez le sportif de développer une ou des addictions, afin, notamment, de compenser l'arrêt de l'activité et de combler un éventuel vide laissé au quotidien. 

Enfin, je tiens à noter que quel que soit le moment que vous choisirez pour en parler, c'est un réel pas en avant, important pour chacun.


Le sportif a aussi bien sûr le choix de vouloir travailler sur une problématique particulière ; il s'agira alors de définir celle-ci ensemble. 


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Pour illustrer mes propos, vous trouverez ci-dessous quelques exemples de thématiques/problématiques sur lesquelles le psychologue du sport peut intervenir :

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      DURANT LA PRATIQUE

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  • Connaissance de soi : apprendre à mieux se connaître, apprendre à mieux comprendre son comportement et ses pensées 

  • Proposer une écoute confidentielle et un cadre différent de celui que le sportif connaît déjà 

  • Gestion des émotions : les entendre, les accepter et les exprimer afin d’en s’en servir de manière positive dans sa pratique 

  • Gestion de son corps : apprendre à prendre soin de soi et de gérer ses douleurs/blessures

  • Acquérir des connaissances du haut niveau 

  • Gestion du stress, des peurs, des doutes

  • Mise en place de routines 

  • Travail et amélioration de sa confiance en soi et en ses capacités 

  • Addictions


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    L’APRES-CARRIERE
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  • Addictions diverses

  • Burn-out du sportif 

  • Remaniements identitaires

  • Risque suicidaire

  • Dépression 

  • Gestion de son corps et des douleurs corporelles

  • Troubles du comportement alimentaire

  • Réorientation difficile

  • Questionnements post-carrière



         

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